Urgence climatique

Le changement climatique est l’une des causes possibles d’effondrement des sociétés humaines.

D’autres causes potentielles d’effondrement comme la raréfaction des ressources et l’augmentation du coût de leur extraction ou l’instabilité financière sont en quelques sorte  « en concurrence ».  Quelle cause d’effondrement sera plus rapide que les autres ? Quelles interaction entre les calamités ?

N’allons pas trop loin et arrêtons-nous sur le simple changement climatique.

Le GIEC estime probable à 95% que l’activité humaine soient à l’origine de l’essentiel du réchauffement climatique. J’ignore ce que recouvre ces 5% de non probabilité. Mais le lien entre l’activité humaine et le réchauffement climatique sont les gaz à effet de serre, le gaz carbonique pour l’essentiel.

Vous trouverez ci-dessous un lien vers une sensibilisation sur ce sujet.

https://reseauactionclimat.org/urgence-climatique/

 

Course conte la montre

Jorion nous offre une vision digne de la science-fiction la plus sombre.

En voici le début :

« Une course est donc engagée entre deux tâches auxquelles le genre humain se consacre : d’une part, la destruction de ses propres conditions de vie sur sa planète d’origine et, d’autre part, la recherche de planètes lointaines qui se prêteront à ses projets de colonisation. Vu les caractéristiques des planètes de notre système solaire, il s’agira le plus probablement d’exoplanètes dans d’autres systèmes stellaires : vides en tout cas d’une autre espèce conquérante d’étoiles (s’il y découvre des « indigènes » d’un type quelconque, l’homme fera comme il l’a fait dans d’autres occasions : il se débarrassera d’eux ou les parquera dans des réserves). »

La suite du texte à cette adresse :

http://www.pauljorion.com/blog/2017/01/24/une-course-est-engagee-entre-la-destruction-de-notre-propre-planete-et-la-conquete-dautres-planetes/#more-92241

 

Pas vraiment drôle

La semaine dernière, Paul Jorion nous proposait sur son blog une interview du Pr Guy McPherson sur l’extinction de l’espèce humaine et de nombreuses autres espèces animales.

J’ai longtemps hésité à publier le lien vers cette interview.

Je m’y résouds en considérant cette publication et mes commentaires qui l’accompagnent comme un exercice philosophique de forte intensité. Âmes sensibles s’abstenir.

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Biodiversité en péril

Vous avez sans doute tous entendu parlé de ce rapport et de l’article du Monde qui en parle.

En voici le lien.

Comment peut-on imaginer qu’avec un tel rythme de destruction des espèces animales, l’existence de l’espèce humaine ne soit pas en danger mortel à brève échéance ?

http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2016/10/27/la-moitie-des-vertebres-a-disparu-en-quarante-ans_5020936_1652692.html

 

Le grand écart du taulier

Comme je l’avais indiqué dans ma proposition initiale, le thème de la souveraineté me conduira un jour à la question de la survie de la planète.

Aujourd’hui, je ne parlerai pas de la survie de la planète mais, plus modestement, de la survie de l’espèce humaine. En effet, la planète continuera sans nous. Et la vie sur terre continuera peut-être aussi sans nous.

La démocratie est la traduction de la souveraineté populaire. Elle se définit à l’intérieur de frontières dans le cadre d’une constitution et de lois gérant le bien commun.

Il n’y a pas de démocratie universelle. Les rapports entre nations sont des rapports de force.

Comment, dans ce cadre, s’attaquer aux problèmes de survie de l’espèce humaine ?

Il faudra bien un jour joindre les deux bouts, celui de la souveraineté populaire et celui du bien commun universel.

La COP 21, késako ? (CNRS)

Un article pour se mettre à jour avant le grand show de cette fin d’année.

Il s’agit d’un thème médiatique et pertinent.

Pour autant, face aux défis écologiques des prochaines années,  c’est un des sujets.

Pour sauver, non pas la planète, mais l’espèce humaine, il faudra se préoccuper également de l’extinction des ressources énergétiques, la raréfaction de matières premières comme certains métaux, le problème de l’eau potable, la dégradation de la biodiversité, les pollutions chimiques, biologiques, nucléaires.

Vaste programme.

https://lejournal.cnrs.fr/nos-blogs/en-route-vers-la-cop21/la-cop21-kezako