Justice indépendante

Régis de Castelnau était connu, en son temps, pour ses opinions communistes et surnommé le baron rouge. Voici ce qu’en dit Wikipedia :

Régis de Curières de Castelnau dit Régis de Castelnau né le 7 mars 1950 à Rabat (Maroc) est un avocat français. Il est l’arrière-petit-fils d’Édouard de Curières de Castelnau[1], général d’armée et chef d’état-major du général Joffre durant la Première Guerre mondiale.

 

Avocat engagé, il se rapproche du mouvement ouvrier français et devient dans les années 1970 un des avocats du Parti communiste français (PCF) et de la CGT. Il mènera en particulier la défense des travailleurs de la sidérurgie dans les années 1978-1982. Expérience dont il tirera un livre, La provocation[2], écrit avec l’écrivain François Salvaing. Par ses fonctions de membre du Bureau de la commission de Politique Extérieure (la Polex) du PCF il développera une importante activité internationale et rencontrera notamment Indira Gandhi en 1982 et Mikhaïl Gorbatchev en 1987. Ses engagements lui vaudront au Palais, le surnom de « Baron Rouge »[3].

Parallèlement à une forte activité doctrinale qui verra la publication de plusieurs ouvrages dont Le Fonctionnaire et le Juge Pénal en 1997, Portrait des chambres régionales des comptes[6] en 1997, Pour l’amnistie[7] en 2001, Les Chambres régionales et territoriales des comptes[8] en 2004, il écrit également de nombreux articles dans la presse spécialisée et généraliste. Il tient depuis 2012 une tribune régulière dans le magazine Causeur[9].

Sa biographie complète est là :

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Régis_de_Castelnau

 

Il tient désormais le blog « vu du droit » que je consulte de temps en temps, où il s’exprime sur des affaires judiciaires, fort de sa connaissance du milieu de la justice et de la politique et fort de son franc-parler.

Voici un article sur les affaires judiciaires en lien avec les élections présidentielles.

http://www.vududroit.com/2017/03/justice-limpartialite-ne-se-proclame-se-prouve/

Bonne lecture ! Ça en vaut la peine.

 

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